On critique souvent Facebook. Vie privée trop exposée, espionnage de mémère, flicage entre collègues, entre ex, motif de licenciement, de ruptures ou d'embrouilles sans fin...Le plus grand réseau social est finalement comme tous les endroits de la planète : pas très safe.
Pourtant, qu'on y ait beaucoup ou peu d'activité, la majorité d'entre nous continue de fréquenter cet endroit peu recommandable. Et il arrive même qu'on s'y fasse de (faux) amis ou qu'on y trouve l'amour de sa vie.
Pour ma part, j'y ai fait récemment une rencontre qui m'a chamboulé l'esprit et bouleversé le cœur. Mon coup de foudre s'appelle Irma et elle a 20 ans. Messieurs, point d'enthousiasme déplacé ici, ce blog n'a pas pour but de vous faire part de mes émois sentimentaux.
Cette jeune camerounaise, qui a débarqué à Paris à l'âge de 15 ans, a passé son enfance à Douala, où elle s'est essayée à la musique avec une guitare délaissée par son père et appris à jouer du piano. Elle créé ses premières "compos". Puis, elle fait comme tout le monde, elle balance sur Internet. Et c'est là qu'elle se fait alpaguer par My Major Company, label communautaire créé par quatre mecs qui ont certainement eu l'idée musicale du siècle.
Le buzz a pris et ça n'a rien d'étonnant. On ne peut pas dire, en toute objectivité, que sa musique soit particulièrement originale. Mais elle est bonne. La musique hein. Un petit bijou soul/folk à la Ayo ou à la Norah Jones. Une belle voix, simple, qui ne triche pas. Et une prod musicale en béton derrière tout ça, grâce à l'ingé-son Henry Hirsch, qui a, entre autre, travaillé avec Lenny Kravitz.
Elle avait déjà fait les premières parties d'artistes comme Diam's, M, Tété, donné un concert sauvage dans le métro parisien à la station Concorde, ce qui a participé au buzz. Je ne serais pas étonnée de la voir sur tous les prochains plateaux TV. Elle sera d'ailleurs en concert le 15 mars au Café de la Danse. Bref, vous avez compris, elle va cartonner.
La petite avait déjà 5 morceaux en écoute sur le site de My Major Company. Son album, qui sort ce lundi 28 février, est une véritable bombe. Je l'ai d'ailleurs téléchargé sans hésitation aucune, sans même avoir pris la peine d'écouter tous les morceaux, ce qui ne m'arrive que très rarement.
Je me le passe en boucle depuis ce matin, tant il m'a manqué de n'avoir pas pu l'obtenir avant, l'écoute de ses 5 premiers morceaux m'ayant mis l'eau à la bouche. Et je vais certainement me le passer en boucle du matin au soir les 5 prochaines semaines parce que, vous vous en doutez, je ne suis vraiment pas déçue du reste.
Et puis le sourire lumineux et le look sans artifice de la jeune fille, contrastant avec son sens inné de la musique, ça change des Lady Gaga et consorts. Bien que, je tiens à le souligner, je n'ai absolument rien contre Lady Gaga. Mais Irma est quand même vachement plus belle.
Quoi vous dire de plus à part que j'aime, que j'adore, vraiment. Que Facebook peut être sacrément utile de temps en temps. Que vous devriez écouter, vraiment. Pardonnez-moi d'insister.
C'est le genre de mélodies qui donne envie de se lever le matin, que ce soit l'été, qu'on parte en vacances ou qu'on aille se balader sur les quais de Seine. Le genre de refrains qui donne envie de tomber amoureux, de se marier, de faire la fête, de se dire qu'on s'aime. Le genre d'album qui se range dans les "fondamentaux", celui dont on apprécie les 13 morceaux sans pouvoir choisir son préféré tant ils sont tous bons. Le genre d'album qu'on aurait voulu faire si on en avait le talent. Le genre de mélodies qui donne envie d'être heureux, tout simplement.
Irma. Letter to the Lord. 28 février 2011.
Pourtant, qu'on y ait beaucoup ou peu d'activité, la majorité d'entre nous continue de fréquenter cet endroit peu recommandable. Et il arrive même qu'on s'y fasse de (faux) amis ou qu'on y trouve l'amour de sa vie.
Pour ma part, j'y ai fait récemment une rencontre qui m'a chamboulé l'esprit et bouleversé le cœur. Mon coup de foudre s'appelle Irma et elle a 20 ans. Messieurs, point d'enthousiasme déplacé ici, ce blog n'a pas pour but de vous faire part de mes émois sentimentaux.
Cette jeune camerounaise, qui a débarqué à Paris à l'âge de 15 ans, a passé son enfance à Douala, où elle s'est essayée à la musique avec une guitare délaissée par son père et appris à jouer du piano. Elle créé ses premières "compos". Puis, elle fait comme tout le monde, elle balance sur Internet. Et c'est là qu'elle se fait alpaguer par My Major Company, label communautaire créé par quatre mecs qui ont certainement eu l'idée musicale du siècle.
Le buzz a pris et ça n'a rien d'étonnant. On ne peut pas dire, en toute objectivité, que sa musique soit particulièrement originale. Mais elle est bonne. La musique hein. Un petit bijou soul/folk à la Ayo ou à la Norah Jones. Une belle voix, simple, qui ne triche pas. Et une prod musicale en béton derrière tout ça, grâce à l'ingé-son Henry Hirsch, qui a, entre autre, travaillé avec Lenny Kravitz.
Elle avait déjà fait les premières parties d'artistes comme Diam's, M, Tété, donné un concert sauvage dans le métro parisien à la station Concorde, ce qui a participé au buzz. Je ne serais pas étonnée de la voir sur tous les prochains plateaux TV. Elle sera d'ailleurs en concert le 15 mars au Café de la Danse. Bref, vous avez compris, elle va cartonner.
La petite avait déjà 5 morceaux en écoute sur le site de My Major Company. Son album, qui sort ce lundi 28 février, est une véritable bombe. Je l'ai d'ailleurs téléchargé sans hésitation aucune, sans même avoir pris la peine d'écouter tous les morceaux, ce qui ne m'arrive que très rarement.
Je me le passe en boucle depuis ce matin, tant il m'a manqué de n'avoir pas pu l'obtenir avant, l'écoute de ses 5 premiers morceaux m'ayant mis l'eau à la bouche. Et je vais certainement me le passer en boucle du matin au soir les 5 prochaines semaines parce que, vous vous en doutez, je ne suis vraiment pas déçue du reste.
Et puis le sourire lumineux et le look sans artifice de la jeune fille, contrastant avec son sens inné de la musique, ça change des Lady Gaga et consorts. Bien que, je tiens à le souligner, je n'ai absolument rien contre Lady Gaga. Mais Irma est quand même vachement plus belle.
Quoi vous dire de plus à part que j'aime, que j'adore, vraiment. Que Facebook peut être sacrément utile de temps en temps. Que vous devriez écouter, vraiment. Pardonnez-moi d'insister.
C'est le genre de mélodies qui donne envie de se lever le matin, que ce soit l'été, qu'on parte en vacances ou qu'on aille se balader sur les quais de Seine. Le genre de refrains qui donne envie de tomber amoureux, de se marier, de faire la fête, de se dire qu'on s'aime. Le genre d'album qui se range dans les "fondamentaux", celui dont on apprécie les 13 morceaux sans pouvoir choisir son préféré tant ils sont tous bons. Le genre d'album qu'on aurait voulu faire si on en avait le talent. Le genre de mélodies qui donne envie d'être heureux, tout simplement.
Irma. Letter to the Lord. 28 février 2011.
Oh ouiiii! J'aime!
RépondreSupprimerJ'aime aussi beaucoup mais :
RépondreSupprimerComment fait elle pour avoir des backs refrain sur une vidéo amateur ?!?
Pas si amateur que ça cette vidéo...